Très long titre vous me direz pour un 1er album. Surprenant d'ailleurs cet album. On y trouve des rythmes parfois proches de Pretty Hate Machine (le 1er NIN), couplé à la voix de Piet pas encore aussi identifiable que sur ses dernières productions. L'ambiance est nettement moins planante et poétique. Ici, l'atmosphère se révèle davantage pesante et moins aérée. Bon attention, c'est pas non plus du Joy Division hein... Mais il y a plus de caractère sur ce disque que sur The Soft Machine (le dernier, qui reste bon).J'ai donc en ma possession l'entièreté de la discographie de ce cher Piet (mis à part les best-of). J'invite vraiment à ceux qui n'ont jamais écouté ozark Henry d'y prêter une oreille attentive. Entamez l'oeuvre de l'artiste par "Birthmarks" ou "the sailor not the sea", nettement plus accessibles. Il me reste à bien réecouter le 2ème album, mis de coté pour je ne sais quelle raison.
Indian summer... opiate company...
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