Quoi ? Je vous ai manqué tant que ça ? Bon, je m'excuse pour l'inactivité mais les exams passsent avant la "geekerie".
Et je vous souhaite une BONNE ANNEE 2012 ! ... Quoi tu trouves ça ringard ? Vas y, fais mieux : j'te r'garde...
Me concernant, rien de bien nouveau : je vais finir mon top 20, finir ce p***** de test de Xenoblade pour lequel je seche plus que l'animal aquatique du même nom, continuer ma rubrique "livres", et puis c'est... tout...
Ah si ! Le père noël, dans son extrême bonté m'a fais cadeau d'un certain Skyward Sword que j'ai actuellement presque fini. Si le coeur m'en dis, je ferais un petit quelquechose sur cet episode "special" (vous pensiez tout de même pas que j'allais demander vos avis ?)
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Lorsque l'un de nos plus grand souvenir d'enfance en matière de gaming se révèle être d'une qualité tellement rare que l'on s'y remet encore aujourd'hui le sourire aux lèvres, on obtient "mes" numéros 6 : Starwing et Lylatwars.
Bien que n'étant pas de la génération Super Nes, Starwing fut mon premier jeu en 3D ainsi qu'une claque à faire baver tout bon sadomasochiste qui se respecte. Pour résumer, vous voila à bord d'un vaisseau d'un escadron et votre but et de traverser un monde en mode "shoot them up" pour casser un boss et accéder au niveau suivant. Même si c'est plus que basique, il en découle un challenge grandissant et d'un immersion grandiose. Le jeu est beau, dur, long et fournit un plaisir sans précèdent : bref, du pur bonheur.
Maintenant, imaginez ma tête lorsque j’apprends étant petit qu'une "suite/réédition" est sortie sur N64. Je me suis empressé de me procurer la bête (sur émulateur d'abord (BOUUUUUUUUH !), puis en loose et enfin en boite avec un Rumble Pak à 5€ (bave)). On pouvait s'attendre évidement à du réchauffé mais il n'en est bien sur rien : le scénario est bien plus développé, le jeu plus long et se révèle difficile tout en s'adaptant à vos performances (plusieurs embranchement se font suivant ce que l'on vient de faire dans un niveau). Qui plus est, le jeu est bien nerveux et on y revient avec toujours autant de plaisir.
Bref, un plaisir à l'état brut (qui se perd au fur et à mesure de l'avancée de la série... Bien dommage...).
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